vendredi 27 novembre 2009

"La nuit je mens, je prends des trains à travers la plaine"

Voila plusieurs jours que cette sublime chanson du grand Bashung me trotte dans la tête, et ravive quelque peu la  sourde peine de sa perte.
Un jour, quelqu'un que j'estime beaucoup m'a dit que parler d'un livre ou d'une musique est inutile, que l'oeuvre parlera d'elle-même.
Je vous laisse donc déguster:

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